Dans cet entretien, le président d’honneur de la Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme et membre influent de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie, explique les raisons pour lesquelles l’Armée ne peut indéfiniment rester spectatrice devant une Algérie réelle en mouvement et un système politique qui a fait le choix de l’immobilisme et du statu quo.
Liberté : Votre interpellation de l’Armée pour prendre ses responsabilités a suscité quelques incompréhensions avant de revenir à la charge pour apporter des clarifications. Pensez-vous toujours que l’armée a un rôle à jouer ?