mardi 3 mai 2011

Marche des étudiants le 02 mai 2011 à Alger, réprimée par la police (partie 2)


Un homme, âgé, s’est évanoui suite à une répression policière sauvage, lui qui était là visiblement par curiosité. Il était tombé sur terre. La police-pègre s’en foutait complètement.
Il n’y avait pas eu de problèmes entre étudiants du début jusqu'à la fin. La haine qui se lisait sur les visages des policiers était digne d’ennemis de guerre. Cette canaille policière était en mesure d’assassiner si l’ordre lui était venu. Mais ce régime criminel a bel et bien pu produire une police-pègre. Lors de leur ‘‘bastonnade’’, les policiers-encanaillés ne distinguaient pas entre garçons et filles. Toutes et tous ont eu droit à leur excès de haine...
Vers 12h45, un ‘‘baltagui’’ particulièrement hideux se ‘‘manifeste’’ derrière une antique vitrine (voir la fin de la vidéo). Il brise quelques vitres. Blesse quelque étudiant. Un manifestant s’écrie : ‘‘c’est un policier en civil’’. Moi, je ne partage pas son avis, je pense que c’est un ‘‘baltagui’’ soudoyé, tellement il était exécrable, mine et mise si pitoyables. Créature diabolique...
Lorsque je descendis l’escalier d’une ruelle pour m’en aller après avoir perdu espoir de marcher, j’attendis un moment et ‘‘scannai’’ bien ce qui m’entoure, le baltagui s’étant juré de me faire mal, ayant pris sa photo (vers la fin de ma deuxième vidéo). Là, des étudiants descendirent et je descendis avec. Un étudiant dit à un flic, se croyant face à un homme ‘‘sain’’ qui ne faisait que son travail malgré lui, ce qui n’était manifestement pas le cas, les flics étant de la pure pègre : ‘‘cette fois, vous avez gagné ?’’. Le haineux et hideux flic de répondre, avec un regard d’un psychopathe, mais pas n’importe lequel, celui qui a face de lui un étudiant universitaire alors que lui n’a pas assez de matière grise pour parvenir à terminer ces études lycéennes : ‘‘Nous, on gagne toujours!’’...
Toujours ? Peut-être toujours ! 

Seulement pas contre les terroristes. Ni les vrais délinquants. Ni le crime organisé. Ni…
N'ayant pas reparti directement, j'étais présent lorsque, vers 14h10, quelques dizaines d'étudiants on réussi à marcher. La majorité avait déjà commencé à partir, la police a donc diminué sa vigilance. Mais ce n'était pas pour longtemps. Les étudiants ont pu descendre à Tafourah.
Puis la police était en attente. 

Lyes A.

1 commentaire :

  1. c vraimant malhereux vraiamanttttttt ............une vraiz honte

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